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Charles de Chateauneuf   P.S.
Charles de Chateauneuf P.S.
Capitaine Charles marquis de Chateauneuf P.S. de Mauze le 17.07.1639       Charles de L'Aubespine Charles de L'Aubespine, marquis de Châteauneuf , né le 22 février 1580 à La Celle-Condé et mort le 26 septembre 1653 au château de Leuville , est un homme politique français, connu par ses contemporains sous le nom de « Châteauneuf » ou de « garde des sceaux de Châteauneuf » 1 . Biographie Issu d'une vieille famille berrichonne de conseillers et de secrétaires d'État, il est le petit-fils de Claude de L'Aubespine , baron de Châteauneuf. Il devient abbé de Préaux , puis de Massay et de Noir-lac à Bruère-Allichamps . Il est appelé en 1611 à la direction des finances, avec Pierre Jeannin et Jacques-Auguste de Thou . Il remplit diverses missions en tant qu' ambassadeur de France en Hollande ( 1609 ), à Valteline ( 1626 ) et en Angleterre ( 1629 ). Fait garde des sceaux par Richelieu en 1630 après la journée des Dupes , en remplacement de Michel de Marillac , il préside les commissions extraordinaires de justice qui condamnent à mort le maréchal Louis de Marillac et le duc Henri II de Montmorency . Il est nommé également gouverneur de Touraine. Il est actif et travailleur, et semble le docile instrument du cardinal. Néanmoins, il ne tarde pas à trahir Richelieu pour les beaux yeux de M me de Chevreuse 2  : il lui révèle les projets de Louis XIII sur la forteresse lorraine de Moyenvic , et la duchesse en informe aussitôt Charles IV ( 1633 ). Le cardinal lui ôte alors les sceaux pour les donner à Séguier 3 , et le fait jeter dans une prison du château d' Angoulême où il reste dix ans, tandis que M me de Chevreuse est exilée en Touraine . Libéré à la mort de Louis XIII ( 1643 ), il participe à la cabale des Importants menée par la duchesse de Chevreuse contre Mazarin . Il est de nouveau éloigné en 1645 . Cependant, grâce au crédit de M me de Chevreuse , Anne d'Autriche lui rend les sceaux en mars 1650 , mais les lui retire en avril 1651 et l'exile, à l'occasion du rapprochement provisoire entre Mazarin et la Vieille Fronde 4 . Il réussit cependant à entrer au conseil après la majorité du jeune Louis XIV , mais il s'y trouve sans crédit à cause de ses intrigues passées et préfère se retirer au début de 1652 , peu de temps avant de mourir à Leuville-sur-Orge en 1653 . Il ne parvint pas plus que Chavigny à s'imposer comme principal ministre.        
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Louis XIV  PS a Bezmaux (lettre de cachet)
Louis XIV PS a Bezmaux (lettre de cachet)
[Louis XIV of France.] Autograph Signature ('Louis') to manuscript document to 'Monsr de Bezmaux gouvr. de mon chau de la Bastille', i.e. Bastille Governor François de Monlezun, Sieur de Besmaux, regarding Marquis de Jonzac. Contersigned by Louvois. Author: Louis XIV of France [Louis Dieudonné] (1638-1715), known as 'le Roi Soleil' (the Sun King) and 'Louis le Grand' [Louvois [François Michel Le Tellier, Marquis of Louvois] (1641-1691), War Secretary]  'Escrit a Paris le x6me Avril' 16 April 1662. Paris  2pp, folio. In fair condition, aged and worn, with two closed tears for the seal (not present) and repair to slight damage along one edge, and stub from mount adhering. Folded twice. From the celebrated manuscript collection of Richard Monckton Milnes (Lord Houghton). The document is addressed to the Governor of the Bastille, 'Monsr. de Bezmaux', i.e. François de Monlezun, Sieur de Besmaux (d.1697). The only part in the king's hand is his firm and disciplined signature 'Louis', beneath the ten lines of text. The document is countersigned at the foot by the much larger and more ebullient signature of his new secretary of state for war Louvois. The text is either in Louvois' hand or in that of a secretary. The document is difficult to decipher, being in the French equivalent of chancery hand, but would appear to be a 'lettre de cachet' for Alexis de Saint Maure, Comte de Jonzac (d.1677), directing that he be conveyed to the prison 'souz [sic] bonne et sure gard'. Addressed on reverse 'A Monsr de Bezmaux gouvr. de mon chau de la Bastille [.]'. Also endorsed on reverse, in a later hand.
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SAINT-DOMINGUE. 3 P.S.,  L’habitation du grand-oncle d’Alexandre Dumas.
SAINT-DOMINGUE. 3 P.S., L’habitation du grand-oncle d’Alexandre Dumas.
SAINT-DOMINGUE. 3 P.S., Le Trou, Le Cap (Saint-Domingue), 1777-1789 ; 3 pages petit in-4. L’habitation du grand-oncle d’Alexandre Dumas. [Né en 1716, Charles Davy de La Pailleterie s’installa à Saint-Domingue où il cultiva le tabac, la canne à sucre et l’indigo. De retour en France, il monta, en 1760, une société de commerce triangulaire. Ayant renoncé à cette activité après deux traversées décevantes, il retourna à Saint-Domingue où il mourut en 1773, laissant des habitations grevées d’un lourd passif successoral. Sa fille, Marie Anne Charlotte, hérita de ses propriétés qui furent alors dirigées par son mari, Léon de Maulde. Charles était le frère d’Alexandre Antoine Davy de La Pailleterie, le grand-père d’Alexandre Dumas.] Les deux premiers documents sont des factures de sucre signées par le gérant de l’habitation, par Maunoury de Prémesnil : « Facture d’une barrique de sucre terré provenant des habitations de M le comte de Maulde, chargée par M de Prémesnil sur le navire le Sylvain, Capne Jean Morel de Dunkerque [...] à l’adresse et consignation de M Elle Briansiaux, négociant à Dunkerque »… (Le Trou 17 juin 1777). – « Facture de vingt barriques de sucre blanc terré [...] chargées par M de Prémesnil sur le navire le Basque, Capne Lermet [...] à l’adresse & consignation de MM Antoine Defos & Cie négociants à Bordeaux »... (Le Trou 16 juin 1783). Le troisième est un connaissement signé par un capitaine de navire marchand : « Je Chebaud capitaine & maître, après Dieu, du navire nommé le St Honoré de Nantes, ancré à présent devant le Cap français [...] confesse avoir reçu [...] les marchandises suivantes, nombrées et marquées [... ], savoir : Vingt-quatre barriques créoles sucre terré [...] à l’adresse & consignation de M Prosper Charret, négociant à Nantes... » (Le Cap 5 avril 1789).
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Louis de Clermont d’Amboise, seigneur de Bussy (1549-1579). Lettre signée
Louis de Clermont d’Amboise, seigneur de Bussy (1549-1579). Lettre signée
Louis de Clermont d’Amboise, seigneur de Bussy (1549-1579). Lettre signée Louis d’Amboise, Fontenay, le 23 septembre 1574, Fontenay, adressée au roi Henry III de France (1551-1589), concernant son avènement à la couronne de France, 1 page, in-folio, pliures, avec trace de cachet en cire rouge. « Syre, Ne désirant rien tant que de tesmoigner à Vostre Majesté le désir que J’ay eu de tout temps de luy rendre le service très humble que Je vous ay voué pour Jamays Je n’ay voulu laysser couler ceste occasion sans fere entendre a Votre dicte Majesté, qu’après la prinse de St Lo et autres villes de Normandye, s’offrant le siège de Fontenay, Jay pencé plus fere pour nostre service de m’y trouver que vous aller au devant, auquel encore que Jaye esté comme estropié d’ung bras à l’assault qui y a esté donné par les chasseurs, si en ay Je encor ung bien sain qui accompaigne le zelle aultant affectioné d’employer le reste de ma vye au service très humble que Je Vous doylz, qu’aulcung aultre en puysse avoyr. L’extreme que Jay d’avoyr cst heur de vous bayser très humblement les mains, me fait esperer une bonne et soubdaine disposition pour m’y pouvoyr acheminer, ce que Je feray incontinent quil me sera possible si Je nay aultre comandement de Votre diste Majesté, Laquelle je suplie très humblement, Syre, vouloir accorder au Capitaine Lavaldaix, présent porteur, la compaignie que je luy ai donnée du feu Capitaine Ouezan, l’un de ceulx de mon Régimen qui a esté tué a l’assault de ceste place, estimant que Je ne pouvoys plus dignement pourvoyr persone en ceste charge que luy, qui en estoy Lieutenant, pour l’avoir essayé et cogneu en ce qui s’est offert pour Vostre service durant la charge que J’ay. Je l’ay assuré qu’avec le tesmoignaige récent que Je vous rendz de sa valeur et mérite, Votre Majesté luy fera cest honneur de luy confirmer et en fere donner l’expédition necessère. Ayant eu cest honneur, il y a environ deulx ans d’estre retenu et employé en l’Estat de Gentilhomme servant de la mayson du feu Roy, au retour du voyage que ledit Lavaldaix venoyt de fère par comandt de sa maté en Barbarye et Levant d’où il ramena les Chevaliers de Voguedemar, Rochefort et Clavezon, et obtint liberté pour environ deulx mil de voz subjectz ; m’assurant bien que ses services signalez avec ceulx qu’il continue journellement pourront imprimer en Vostre Maté telle opinion de luy qu’elle l’estimera digne de cest honeur, Je la suplieray très-humblement qu’avec ces considérations qu’Elle l’estimera digne de cest honneur. Je la suplieray très humblement qu’avec ces considérations il luy playse, en ma faveur et réqueste, l’honorer tant que de s’en servir en cest Estat mesme. En cela et toute aultre chose où il Vous plaira l’employer, Je ne doubte poinct que Vostre diste Maté ne le trouve gentilhomme si bien compozé, qu’il fera espérer d’en tirer quelque bon service, auquel m’estant desdyé entièrement, Je ne scauroys qu’estimer ceulx qui en sont zélateurs comme Je le cognoys ; que m’excuserés si J’importune Vtre Maté à cette occasion, en cest endroit. Syre, Je suplie Le Créateur Vous donner très heureuse et longue vie. Vostre très-humble et très-obeyssant subject et serviteur.  
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J. Laffite a Comtesse de Grenouville a Tilly
J. Laffite a Comtesse de Grenouville a Tilly
1847 LETTER DU CELEBRE BANQUIER J LAFFITE A COMTESSE DE GRENOUVILLE A TILLY Jacques Laffitte est un banquier et homme politique français né à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) le 24 octobre 1767 et mort à Paris le 26 mai 1844. Jacques Laffitte connut une ascension rapide dans le monde de la banque qui le conduisit jusqu'au poste de gouverneur de la Banque de France. Député libéral, il participa à la Révolution de Juillet en 1830 et devint président du Conseil de Louis-Philippe Ier. En 1836, sa liquidation terminée, il réussit à créer une nouvelle banque d'affaires au capital de 20 millions grâce au système de la commandite, la Caisse générale du commerce et de l'industrie J. Laffitte et Cie. L'entreprise, destinée à financer le développement des entreprises industrielles, prototype des banques d'affaires qui prirent leur essor dans la seconde moitié du XIXe siècle, n'eut qu'un médiocre succès, et elle tomba tout à fait après la mort de Laffitte. Sa fortune, divisée par cinq à six, était alors estimée à 4 millions. La Caisse générale du commerce et de l'industrie, fut créée en 1836 par Jacques Laffitte, banquier et homme politique français (1767-1844), qui fut auparavant gouverneur de la Banque de France et Président du conseil de Louis-Philippe Ier. Lettre de une page in 4 sur papier a en-tete  a caisse general de commerce et de l'industrie (   LA DERNIERE BANQUE DE LAFFITE)  paris 1841 lettre adressée a la comtesse de grenouville en son chateau de tilly sur seure   en calvados, pour l'informer que deux effets ont bien étés mis sur le compte de mr DE TOUSTAIN   etc etc                 rare  signature autographe  de J LAFFITE  lettre avec marque postale    
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Marechal Soubise LS 1780
Marechal Soubise LS 1780
Marechal Soubise LS a Prince Montbarey 17 d'Avril 1780, 1p., 31x21 Charles de Rohan, duc de Rohan-Rohan, prince de Soubise, comte de Saint-Pol1, maréchal de France, dit le maréchal de Soubise, né en 1715 et mort en 1787 est un militaire et un ministre français du xviiie siècle. http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Rohan-Soubise Alexandre Marie Eléonor de Saint-Mauris, comte de Montbarrey puis prince de Montbarrey et du Saint-Empire (1774), grand d'Espagne de première classe (1780), chevalier du Saint-Esprit, lieutenant-général des armées (1780), naquit à Besançon le 20 avril 1732. Il appartenait à une famille franc-comtoise originaire de Dole, anoblie en 1537 par lettres de Charles Quint en la personne de Jean de Saint-Mauris, docteur en droit, professeur à l'université de Dole puis conseiller au parlement de Dole, conseiller d’État et enfin président du conseil d’État des Pays-Bas sous Charles Quint et Philippe II. Le prince de Montbarrey qui était d'une grande prétention quant à l'origine de la noblesse de sa famille et imbu de ses titres de prince et grand d'Espagne nouvellement acquis (il avait payé la somme faramineuse de 100 000 livres pour son titre de prince du Saint-Empire que lui avait accordé l'empereur Joseph II ), s'était fait fabriquer une généalogie truquée plus flatteuse, rattachant sa famille à la famille de Saint-Moris-Salins, de noblesse d'ancienne extraction, de la même région et éteinte au xviie siècle. http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Marie_L%C3%A9onor_de_Saint-Mauris_de_Montbarrey
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Charles Kean  Newspaper clip and Signature
Charles Kean Newspaper clip and Signature
CHARLES KEAN 1811-68 VICTORIAN THEATRE ACTOR RARE NEWSPAPER CLIP AND SIGNATURE An original newspaper cutting denoting a scene from the 'new' drama of The Courier of Lyons at The Princess' Theatre in 1854. Also an original signature of the actor who starred in the production Charles Kean. The cutting is as seen on the scan and has been sliced beneath the title. The signature has been taken from the bottom of a letter at some time in antiquity. In bold dark brown ink. Charles John Kean (18 January 1811 - 22 January 1868), was born at Waterford, Ireland the son of the actor Edmund Kean. After preparatory education at Worplesdon and at Greenford, near Harrow, he was sent to Eton College, where he remained three years. In 1827, he was offered a cadetship in the East India Company service, which he was prepared to accept if his father would settle an income of £400 on his mother. The elder Kean refused to do this, and his son determined to become an actor. He made his first appearance at Drury Lane on 1 October 1827 as Norval in Home's  Douglas, but his continued failure to achieve popularity led him to leave London in the spring of 1828 for the provinces. At Glasgow on 1 October in that year, father and son acted together in Arnold Payne's Brutus, the elder Kean in the title-part and his son as Titus. After a visit to the United States in 1830, where he was received with much favour, he appeared in 1833 at Coven Garden as "Sir Edmund Mortimer" in Colman's The Iron Chest, but his success was not pronounced enough to encourage him to remain in London, especially as he had already won a high position in the provinces. In January 1838, however, he returned to Drury Lane, and played Hamlet with a success which gave him a place among the principal tragedians of his time. He was married to the actress Ellen Tree (1805-1880) on 25 January 1842, and paid a second visit to America with her from 1845 to 1847. Returning to England, he entered on a successful engagement at the Haymarket, and in 1850, with Robert Keeley, became lessee of the Princess' Theatre, London. The most noteworthy feature of his management was a series of gorgeous Shakesperean revivals that aimed for "authenticity". Kean also mentored the young Ellen Terry in juvenile roles. Charles Kean was not a great tragic actor. He did all that could be done by the persevering cultivation of his powers, and in many ways manifested the possession of high intelligence and refined taste, but his defects of person and voice made it impossible for him to give a representation at all adequate of the varying and subtle emotions of pure tragedy. But in melodramatic parts such as the king in Dion Boucicault's adaptation of Casimir Delavigne's Louis XI, and Louis and Fabian dei Franchi in Boucicault's adaptation of Dumas's The Corsican Brothers, his success was complete. From his "tour round the world" Kean returned in 1866 in broken health, and died in London on 22 January 1868 at the age of 57. He is buried at Horndean, Hampshire.
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Pièce signée Fernand Labori
Pièce signée Fernand Labori
Fernand Gustave Gaston Labori,(1860 - 1917), est un juriste français. Sans doute sur les premières pages d'un ouvrage intitulé "Discours prononcé par M.F. LABORI, avocat à la cours d'appel ... à l'ouverture de la Conférence des Avocats le 26 novembre 1888." Dédicace sur la 2ème page de titre : "A Monsieur G------ conseiller à la cour de cassation. Hommage de profond respect. Labori." Dimension de chaque page : 15 x 22 cm environ. Fernand Gustave Gaston Labori,(1860 - 1917), est un juriste français. Fils d’un inspecteur du Chemin de fer de l’Est, Il un fut conseiller général, député de Seine-et-Marne en 1906, avocat à la cour d’appel de Paris depuis 1883. Procès célèbres. Il fut le défenseur :     * de l’anarchiste Auguste Vaillant     * de l'épouse de Dreyfus dans le procès Esterhazy, d’Émile Zola en 1898.     * du capitaine Dreyfus, devant le conseil de guerre, au procès de Rennes en 1899 où il fut victime d’une tentative d’assassinat.     * de Thérèse Humbert, dans la fameuse affaire de l’héritage Crawford, l’escroquerie du siècle.     * de Henriette Caillaux, femme de Caillaux en 1914. Au procès Zola, en particulier, l’insistance de Me Labori permet de découvrir l’existence de pièces secrètes dans le dossier Dreyfus, ce qui constitue un tournant décisif dans l’Affaire. Ses discours comptèrent parmi les chefs-d’œuvre de l’éloquence judiciaire. Juriste autant qu’orateur, Labori collabora activement à la Gazette du Palais, fonda en 1897 et dirigea la Revue du Palais, qui devint plus tard la Grande Revue. Il repose au Cimetière du Montparnasse.
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